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Pas forcément le look Hugo Boss mais pas inintéressant

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Au début des années 90 alors que les skiffs monotypes connaissaient un essor considérable en Angleterre se posait la question de savoir qui remplacerait le FD au JO. Le Laser 5000 et le Boss, son alter ego chez Topper, étaient postulants.

L’arrivée du 49er véritable synthèse de l’esprit skiffs australiens (les 18 pieds) et anglais ( 14 pieds) emporta logiquement le morceau devant les deux autres mais alors que le Laser 5000 a réussi tant bien que mal à poursuivre sa carrière, essentiellement en Angleterre, le Boss lui a du mal à se développer.

Caractéristiques

  • Architecte: Ian Howlett
  • Année: 1994
  • Constructeur: Topper
  • Longueur:: 4.9 m
  • Largeur:: 1.7 à 2.37m
  • Grand-voile: 12.25 m²
  • Foc: 5.6 m²
  • Spi: 33 m²
  • Poids: 85 kg (Coque) 155 kg en navigation

Pourtant le bateau est séduisant : coque large et planante mais très stable, avaleur de spi, construction faisant appel au carbone. Bon marcheur au portant, il se révèle un peu plus dur à faire avancer au près. Comme toujours chez Topper on regrettera quelques détails dans l’accastillage mais rien de bien rédhibitoire.

Pourquoi donc ce faible engouement surtout par rapport au 5000? Osons une hypothèse, ce bateau est dans le flou entre le 49er et le Laser 5000, ne s’inscrivant dans aucune culture propre : contrairement au 5000 qui ressemble à s’y méprendre à un 18 pieds miniature, le Boss lui n’a pas réussi à atteindre le niveau de synthèse du 49er entre la culture skiff anglaise et la culture skiff australienne.

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Ceci dit pour un usage loisir, quelques bateaux ont été vendus en France et certains sont à vendre à un prix très compétitif. Avis aux amateurs de sensations.

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Un Buzz épicé !

spice_2logospicePrenez une carène de Buzz, mettez un gréement proche de celui de l’ISO, rajoutez un trapèze pour le barreur et vous obtenez le Spice, un bateau pour le moins épicé.

A sa sortie la presse nous l’a présenté comme un double trapèzes pour les poids légers qui devait conquérir un public de sportives.

Si tel était vraiment l’objectif du constructeur, c’est un échec ! L’activité régatière est quasiment nulle même en Angleterre son pays d’origine. Si par contre vous le considérez comme un engin pour le plaisir et le fun alors là vous ne serez pas déçus.

Ne vous fiez pas au double trap, le bateau est plus facile d’utilisation qu’il ne le semble et il va vite tout en restant abordable pour une utilisation loisir. Dans du vent, au portant sous spi, il lui arrive même de sauter les vagues.

Caractéristiques

  • Architecte: Ian Howlett & John Caig
  • Année: 1993
  • Constructeur: Topper
  • Longueur:: 4.25 m
  • Largeur:: 1.9 m
  • Grand-voile: 15.93 m² avec le foc
  • Foc:
  • Spi: 21.68 m²
  • Poids: 85 kg

Un des fondateurs de Breizhskiff qui a navigué sur presque tous les skiffs disponibles sur le marché, partait sur un Spice quand le vent était trop fort pour sortir le 49er. Il garde un souvenir indéniablement sympathique de ce bateau.

Tout bateau a ses défaut, le Spice aussi : qualité de construction moyenne, fragilité de certaines pièces comme le safran, Hâle-bas qui gêne l’équipier.

Mais cela a-t-il beaucoup d’importance au regard du rapport prix-plaisir du bateau ? Indubitablement non quand l’utilisation est tournée vers le loisir et le fun.

En France, quelques bateaux naviguent régulièrement et ne rechignent pas à venir régater en interséries de temps à autre.

Cédric Fraboulet

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Le mythe absolu !

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Parler du 18 Pieds Australien, c’est d’abord et avant tout poser des questions : existe-t-il dans le monde de la voile légère un autre bateau qui puisse exercer un tel pouvoir de fascination ? Existe-t-il un dériveur qui ait à ce point fait la voile légère pour en être l’incarnation même ?

Comme son nom l’indique, la prestigieuse classe des 18″ est née en Australie à la fin du 19ème. Elle trouve son origine dans les désirs d’un entrepreneur de génie, Mark Foy, de rendre spectaculaire la voile en organisant des régates proches du public sur des petits bateaux rapides, impressionnants et sponsorisés par des entreprises.

Le public pouvant quant à lui parier sur le résultat des courses organisées par une ligue, « la Ligue australienne de 18″. Un siècle avant les Trophées Clairefontaine, les Extrêmes Sailing Series ou la Coupe de l’America version Elison, ce concept d’une voile qui deviendrait un spectacle sportif était posé. Il n’est d’ailleurs pas anodin que beaucoup de personnes impliquées dans la 34ème Coupe de l’América, dont Iain Murray, viennent du 18 ».

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Bien évidemment, à l’époque les 18 Pieds ne ressemblaient en rien à ce qu’ils sont devenus. Légèrement plus grands, sans trapèze, ils étaient menés par des équipages pouvant aller jusqu’à plus d’une dizaines de marins. Avec les années, la jauge a évolué vers des bateaux de 18 pieds à spi asymétrique, à trois équipiers, perchés au trapèze du de grands échelles. C’est là l’autre élément fondamental de la classe des 18″ : cette série a été le laboratoire du dériveur et continue d’une certaine manière à l’être.

Recherche sur les coques, les gréements, les matériaux, l’accastillage, le 18″ a toujours été à la pointe du progrès et ce qui se se fait de mieux en matière de dériveur. Si depuis la fin des années 1990, la coque est monotype, plan Iain Murray, le 18″ continue d’évoluer notamment sur le plan des gréements.

Caractéristiques

  • Architecte:
  • Année: 0
  • Constructeur:
  • Longueur:: 5.9m
  • Largeur:: 2m sans aîles
  • Grand-voile: 23.94 / 19.34 m²
  • Foc: 9.11 / 7.00 m²
  • Spi: 73.83 / 61.78 m²
  • Poids: 162 tout compris

Comment ne pas non plus évoquer la famille Bethwaithe lorsque l’on parle du 18″ et de son évolution technique ? Le père et le fils ont en effet été des grand animateurs, dans les chantiers et sur l’eau, de la classe des 18″ et la conception du skiff olympique, le 49er, n’est d’une certaine manière que l’aboutissement d’années de pratique et de développement en 18″. On pourrait citer également d’autres grands compétiteurs et ou architectes de l’histoire des 18 Pieds : Ben Lexcen, l’architecte du Contender, mais aussi d’un certain Australia II, a été à de nombreuses reprises champion du monde de 18″. Bruce Farr a collaboré à de nombreux projet Néozélandais de 18″. Iain Murray enfin, l’architecte des coques actuelles et recordman du nombre de victoires au JJ Giltinan, l’épreuve la plus prestigieuse du circuit des 18″.

Longtemps chasse gardée des Australiens, rarement concurrencés par les Néozélandais, il aura fallu un siècle de développement des 18 Pieds pour voir un non « down under », un Anglais, remporter le JJ Giltinan. C’était en 1999.

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Depuis seul un autre Anglais, Rob Greenhalgh aura remporté cette épreuve ainsi qu’un Américain Howie Hamlin qui remportera le GG Giltinan à deux reprises dans les années 2000.  A noter que ces deux là ont également été champions du monde de 14 Pieds, l’autre série mythique du skiff. Hamlin comptant même à son palmarès un titre de champion du monde de 505. Ces victoires symbolisaient le développement de la classe à l’international, en Europe et aux Etats-Unis dès les années 90, avec l’organisation de prestigieuses épreuves comme le Mark Foy Trophy à Carnac en France et à San Francisco.  Ces toutes dernières années, de grands régatiers issus de l’olympisme viennent également courir en 18″ : on citera bien évidemment, Nathan Outeridge, Tom Slingsby, mais aussi des gens comme Malcom Page. Il n’est pas rare de les voir en 18″ dans la baie de Sydney lors de la saison régulière, tous les dimanches entre octobre et avril, pour la régate dominicale de la ligue australienne.

Les 18″ font en effet partie du patrimoine historique de la ville de Sydney qui les a toujours mis en avant dans sa communication. Lors de la très grande époque de la médiatisation des 18, dans les années 90, les régates étaient même diffusées à la télévision et souvent tout aussi captivante qu’un match de foot!

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Headcam et micro pour les équipiers, hélicoptère, bateaux spectateurs, les 18″ des années 90 ont jeté les standards le la médiatisation de la voile comme leurs ancêtres du début du 20eme siècle avait jeté les bases de la voile spectacle. Et aujourd’hui encore, à l’heure d’internet, il est possible de suivre en direct sur le web les régates du dimanche.

Sport spectacle, médiatisation de la voile, compétitions de haut-niveau rassemblant de très grands régatiers, tous ces éléments auraient suffi à faire du 18 Pieds Australien une série d’exception. S’il est devenu un dériveur mythique, c’est pourtant parce qu’il y a quelque chose en plus, quelque chose qui tient au bateau en lui même et à l’esprit skiff dont il est la référence absolue et indépassable.

Le 18 c’est d’abord un bateau d’une extrême simplicité, certains diront dépouillé. Tout est fait pour que la performance et la vitesse soient d’abord et avant tout la résultante de la capacité d’un équipage à faire avancer le bateau sans s’encombrer de ces dizaines de réglages que l’on retrouve parfois sur certains dériveur. Simplicité donc, du plan de pont à la coque, en passant par le gréement et l’accastillage, un 18 pieds c’est aussi la puissance : surface de voile démentielle, même avec le plus petit des deux gréements, poids très léger de l’ensemble, cette puissance inégalée est compensée par le triple trapèze et les larges échelles qui sont une des marques de fabrique des skiffs et qui sur le 18 Pieds lui donnent une grâce inégalée.

18ft_4Simplicité et puissance, une navigation en 18 Pieds Australiens reste forcément quelque chose de magique et à la limite de l’orgasmique. Planning ininterrompu, sensation de glisser même dans 8 noeuds de vent, il reste toujours cette impression d’être sur un fil, de toucher les limites, de ne plus toujours être sous contrôle et de pouvoir se faire très mal. Bref, une navigation en 18 Pieds, particulièrement dans du vent, c’est quelque chose de déraisonnable et dont on ne ressort pas totalement indemne. C’est ce qui rend l’expérience passionnante dans un monde si cadré et si policé.

Bateau fascinant, le 18 pieds est l’essence même d’une conception de la pratique de la voile légère, le skiff, qui depuis plus d’un siècle s’est développée en parallèle voire en opposition au monde du dériveur classique. A travers le 18 Pieds et en référence à lui, le monde du skiff s’est structuré, s’est construit une histoire et a développé son propre système de valeurs que depuis 10 ans le monde de la voile découvre ou redécouvre mais ne peut plus ignorer. Le 18 pieds est tout à la fois le fruit de l’histoire du skiff en même temps que le héraut de cette histoire. C’est en cela qu’il occupe une place à part et qu’il est devenu un bateau mythique.

Inconnu en Europe !

16ft_01 Des différents skiffs « down under » on connait généralement le 18 Pieds Australien , éventuellement le 12 Pieds, peut être le Cherub Australien mais finalement très peu voire pas du tout le 16 Pieds.

Cette classe tout aussi vieille que celle des 18″, elle a été créée en 1901, est encore active en Australie notamment dans la région de Sydney et continue de jouer un rôle de marche-pieds pour ceux qui veulent aller vers le 18 pieds. Trevor Barnabas, l’une des légendes du 18 Pieds a par exemple été plusieurs fois champion de 16 Pieds avant de faire du 18″ et d’y briller.

Caractéristiques

  • Année: 1901
  • Longueur: 4.88 m
  • Largeur: 1.78 m
  • GV + Foc: 22 m²
  • Spi: 45 m²

Comme le 18″ et le 12″, la classe des 16 pieds à évolué tout au long de son histoire. Si l’on retrouve tous les éléments qui font d’un dériveur un skiff (puissance, instabilité, spi asymétrique, surface de voile importante), le 16 pieds se caractérise pas l’absence d’échelle et pas le fait que seul deux des trois équipiers ont le droit d’aller au trapèze. Le barreur est au rappel sur le liston. Du coup, et c’est une particularité de ce bateau très « club », ce n’est pas rare de trouver des équipages avec une grande diversité d’âge, les plus vieux à la barre et non pas au trapèze.

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Techniquement et sur le plan de la construction, il apparait moins abouti, moins bien fini, moins perfectionné, bref plus rustique qu’un 18″.

Plus accessible que son grand frère, il n’en demeure pas moins instable, très performant et nécessite tout comme le 18 une bonne coordination de tout l’équipage pour performer.

Il y a dans le 16 Pieds quelque chose qui relève du « bateau de potes », bref le genre de bateau qu’on aimerait voir plus souvent dans les clubs de voile en Europe.

Ecrit par Jean-Louis Treguier

Un moyen simple pour connaitre le mois et l’année de construction de votre bateau, consiste à exploiter son numéro d’identification qui répond à une norme précise (ISO 10087).

Ce code de 14 caractères est moulé ou gravé, à la fois sur le coté tribord du tableau arrière… et caché à l’intérieur des caissons.

Il est structuré ainsi :

 
Exemple
Code pays 2 caractères GB
Identification constructeur 3 lettres LDC
Numéro de série 5 caractères 80156
mois de production 1 lettre A
année de construction 1 chiffre 3
année modèle 2 chiffres 00

Le mois de production est représenté par une lettre de A pour janvier à L pour décembre.
Identifier une année de construction à partir d’un seul chiffre implique d’interpréter l’année modèle qui est une information sur la période de commercialisation envisagée.
Attention la règle est assez floue pour les constructeurs commercialisant un même modèle sur plusieurs années. Ils peuvent apparemment soit indiquer l’année de début de commercialisation, soit changer d’année modèle tous les ans même si le modèle reste identique.

A vos tableaux arrières !

Bibliographie pour les insomniaques de la norme,  l’essentiel débute à la page 20 :
http://www.industriesnautiques.fr/fichiers/(5)Pr%E9s-Directive%2094-25%20modifi%E9e%20Version%2023-11-2005.pdf

A redécouvrir !

RS 10th Anniversary Event 3-5 May 08logorsvareo Au moment où le marché du dériveur solitaire sportif semble connaitre un nouvel essor avec l’arrivée sur le marché du RS100 et du D-one en 2010 et du RS One et du D-Zéro en 2014, il reste intéressant de se pencher sur ce bateau mal connu qu’est le RS Vareo et né à la fin des années 90.

Rappelons d’abord qu’il est le premier dériveur solitaire de série à avoir adopté un spi asymétrique et à avoir connu un relatif succès en Angleterre chez une clientèle de club qui souhaitait un bateau simple et accessible pour une pratique de proximité et sans beaucoup de prétention sportive même si tout le monde en Angleterre a plaisir à faire les régates de club qui ont déserté le paysage français des clubs de voile.

Caractéristiques

  • Architecte: Phil Morrison
  • Constructeur: LDC
  • Longueur: 4.25m
  • Largeur: 1.57m
  • Grand-voile: 8.8 m²
  • Spi: 10 m²
  • Poids: 93kg

Certains ont pensé qu’avec l’arrivée sur le marche du RS100 et du D-one, le RS Varéo était condamné à disparaître . Pourtant il n’en est rien et l’arrivée de la concurrence n’a fait que remettre au grand jour ce bateau qui se développe maintenant dans des pays comme la Tchéquie…

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La raison de la survie de ce bateau malgré l’arrivée du D-one et du RS100 est pourtant évidente. Ils ne sont clairement pas sur le même marché. Le Varéo séduira une clientèle moins sportive, beaucoup plus familiale et pourra parfaitement embarquer une autre personne pour de l’apprentissage et notamment la découverte du spi asymétrique.

Nous aurions pu classer le RS Vareo dans les dériveurs d’initiation. Et pourtant… Même si ce n’est clairement pas un skiff et clairement un bateau de pure performance, c’est un bateau unique en son genre et qui rendra beaucoup de services dans le développement de la pratique de la voile à spi asymétrique.

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tacktick_T060Cette documentation est basée sur un article du forum sailinganarchy et un site néozélandais Vanaheim Technologies Ltd.

Etape 1 :

Retirer la coque externe en insérant une lame de couteau au milieu du côté le plus long en repoussant la
coque légèrement et avec précaution vers l’extérieur.
Une autre technique est d’utiliser des cure-dents et de les insérer dans les 6 clips/crochets et de « gentiment » extraire la coque externe (appliquer la même méthode pour la coque interne (étape 2)).
Ceci révèle , la coque interne qui est maintenue en place par 4 crochets en plastique et une sorte de colle.

Etape 2 :

Insérer la lame de couteau à chacun des coins et avec une légère pression et beaucoup de précaution encore une fois (les crochets sont très fragiles) vous allez ouvrir le boitier.

Etape 3 :

Vous allez pouvoir remplacer la batterie (ML2430-HJ ou ML2430-TT2(en fonction de la connectique) de 3V 100mAh rechargeable au lithium de 24 mm de diamètre et 3mm d’épaisseur).
ATTENTION : Il faut retirer le cavalier situer en dessous de l’écran à proximité de la batterie pour « mettre hors tension » le circuit avant de retire la batterie elle-même. Bien sûr, ne pas oublier de remettre le cavalier après avoir remis la nouvelle batterie en place !!!

Etape 4 – Calibration:

Vous devrez probablement « calibrer » à nouveau votre compas si les lettres CAL s’affichent sur l’écran gauche
de l’afficheur et des degrés du compas sur l’afficheur de droite.
Mode opératoire :
1. Éteignez votre compas (en couvrant le capteur solaire et en appuyant sur le bouton MODE jusqu’à ce que le compas s’éteigne)
2. Démarrer votre compas. L’écran affiche bAt – 200 (ou 180)
3. Quand vous voyez bAt – 200, pressez et maintenez les boutons MODE et SET jusqu’à qu’il soit affiché 013 – 16P
4. Presser rapidement (sans maintenir) les boutons MODE et SET jusqu’à avoir tst – A1 sur votre afficheur.
5. Lorsque vous voyez tst – A1, pressez et maintenez les boutons SET et MODE jusqu’à ce qu’il soit affiché tst – P
6. Éteignez votre compas.
Si le test final était tst – F alors recommencez la procédure (vous devrez peut-être réaliser cette calibration plusieurs fois).
En cas d’échec, c’est qu’il y a un problème matériel et/ou logiciel…

Etape 5 :

Remonter en sens inverse en mettant un peu de colle à chaud pour maintenir de nouveau l’ensemble.

Entretenir la flamme...

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Voila un dériveur solitaire moderne, simple, léger et suffisamment évolutif pour se faire plaisir du faux débutant au un vieux loup de mer.

Solitaire mais pas seulement, le plan de pont permet d’embarquer pour une promenade plutôt sportive un équipier « léger » pour quelques sensations fortes. Une fois à l’eau le bateau est doux à la barre et très réactif, la moindre risée le fait accélérer.

Son allure favorite c’est le largue, et si le vent est de la partie, c’est une véritable fusée. Il faut juste réussir à conserver un cap rectiligne, surf assuré !

Le Blaze a une carène moderne, plate et planante, un plan de pont ergonomique et des ailes réglables (en carbone sur le X) pour le rappel (largeur maxi 2,0 m).

Caractéristiques

  • Architecte: Ian Howlett
  • Année: 1996
  • Constructeur: Topper
  • Longueur: 4.2 m
  • Largeur: 1.5m à 2 m
  • Grand-voile: 10.4 m² (10 sur Blaze X)
  • Poids: 72 kg

Le mat aluminium de 6.5 m est pourvu de barre de flêche poussante. Le gréement consiste en une grand-voile ’round-head’ de 10 m² en mylar et semi latte. Elle permet par rapport a l’ancienne voile de 10.5 m2 (mk1) un meilleur contrôle du bateau lors des surventes et un meilleur cap au près.

Tout est fait pour faciliter la navigation : * dérive pivotante avec renvoi sur chaque bord. * renvoi du cunnigham, hale-bas et bordure sur chaque bord. Le Blaze a évolué régulierement depuis sa sortie en 1997, et depuis 2003, il est doté d’une nouvelle voile et à reçus quelques légères modifications de plan de pont. Il est appelé Blaze X. Les bateaux de la génération précédente peuvent être modifié très facilement pour naviguer avec le nouveau gréement et il n’y a pas de différence notable de performance entre un Blaze X et un Blaze mk1 converti X.

La bome et les ailes sont maintenant en carbone. Le mat est resté en aluminium et n’a pas subi d’evolution pour l’instant.

Le Topper Blaze est en plein développement en Angleterre. Le National 2013 a rassemblé plus de 50 bateaux. L’association de classe Blaze en Grande-Bretagne (blaze-sailing.org.uk) est très active et s’est donne deux axes principaux : * Diffusion du bateau * Evolution régulière du bateau tout en limitant les coûts. Quelques bateaux naviguent en France en particulier en Bretagne Nord.

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Anachronique !

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Le Canoë International (I.C.10) de 10 m2 est un dériveur de haute compétition. Sa dénomination lui vient de ses origines canadiennes il y a plus d’un siècle,mais il s’est progressivement transformé pour s’adapter aux techniques les plus performantes dans le domaine de la navigation et de la régate en solitaire.

Sa particularité réside dans sa planche de rappel qui peut déborder jusqu’à 1.50m en dehors du bateau et qui autorise un rappel très efficace. Il repose sur une jauge très stricte pour les lignes d’eau, mais par contre,très ouverte pour le pont et l’accastillage. La majorité des matériaux disponibles sont utilisés :bois lamellé et C.P. ainsi que polyester, époxy et multiples composites.

Caractéristiques

  • Architecte:
  • Année: 0
  • Constructeur:
  • Longueur:: 5,18 m
  • Largeur:: 1 m
  • Grand-voile: 10 m² avec le foc
  • Foc:
  • Spi: illimité (22 m² habituellement)
  • Poids: 63 kg coque seule

Depuis une dizaine d’années la classe International Canoë s’est ouverte à l’utilisation du spinnaker (22 m2) donnant le nom de « Assymétric Canoë « (AC) La classe I.C. 10 est très active depuis de nombreuses années aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne avec des flottes de 190 et 220 bateaux.

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Pour les pays européens la Suède et l’Allemagne possèdent respectivement des flottes de 90 et 50 bateaux. En France la série est peu active avec quelques bateaux seulement.

Le plaisir de naviguer sur un I.C.10 est unique .Il y a toute la finesse d’un dériveur sophistiqué et, sans répondre à la définition stricte d’un skiff, les sensations de glisse et de vitesse qu’il procure nous permettent de le considérer comme tel.

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